Les Archives départementales de l'Ardèche
Les Archives départementales de l'Ardèche collectent, classent, conservent, communiquent et valorisent tous les documents d'origine publique et privée concernant le département.
Les Archives départementales, service public ouvert à tous, participent ainsi à la constitution de la mémoire ardéchoise et à sa diffusion.
Actualités courantes
Compte à rebours avant les fêtes !
À l'approche des fêtes de fin d'année, le personnel des Archives départementales vous invite à participer au compte à rebours.
Chaque jour, découvrez une surprise ici.
Paléographie 2024 : ouverture des inscriptions ! [COMPLET]
La reprise des cours de paléographie se prépare pour le premier semestre 2024.
Les inscriptions sont ouvertes à l’adresse archives@ardeche.fr
En raison de la capacité de la salle où se déroulent les cours, les places sont limitées. Les Archives départementales étant malheureusement contraintes à refuser certaines inscriptions, nous vous demandons avant votre inscription de veiller à vous engager pour l’ensemble de la session de cours.
Après retour de mail, vous recevrez une réponse validant votre inscription.
Les cours ont tous lieu aux Archives départementales, place André Malraux à Privas.
Date |
Horaires |
Mardi 16 janvier 2024 |
17h – 18h30 |
Mardi 13 février 2024 |
17h – 18h30 |
Mardi 19 mars 2024 |
17h – 18h30 |
Mardi 30 avril 2024 |
17h – 18h30 |
Mardi 21 mai 2024 |
17h – 18h30 |
Mardi 25 juin 2024 |
17h – 18h30 |
Publication d'une nouvelle curiosité
François Henry, 15 ans, mousse sur un coche du Rhône, tue à Glun, le 28 avril 1782, François Luyton, 13 ans. Arrêté et emprisonné, il encourt la peine de mort. Il fait une demande de grâce au roi qui la lui accorde en septembre 1782.
À découvrir ici.
Publication d'une nouvelle curiosité
Au XIXe siècle, de nombreux villages de l’Ardèche reçoivent des enfants abandonnés et ce sont les familles les plus modestes qui s’assurent ainsi un petit complément de revenu, dans un département rural, à l’économie fragile. L’Ardèche, comme d’autres départements du centre de la France, devient un lieu « d’élevage » d’enfants abandonnés dont une part importante provient d’autres départements : Rhône, Bouches-du-Rhône, Loire et départements limitrophes comme la Haute-Loire, la Drôme, l’Isère et le Gard. L’expression « d’industrie nourricière » est utilisée à cette époque.
À découvrir ici.