A partir du 29/04 les horaires d'ouverture des Archives départementales changent :
Le lundi, l'ouverture se fera désormais qu'à partir de 10h. Les autres horaires restent inchangés. Voir dans la rubrique "Venir aux Archives".
En cette année olympique, il est un sport traditionnel des bords du Rhône : la joute nautique. Les Archives départementales de l’Ardèche conservent plusieurs documents sur le sujet : photographies, cartes postales mais aussi programmes des fêtes de la Société de sauvetage et de joute à La Voulte-sur-Rhône, de la fin du XIXe au début du XXe siècle.
ConsulterLe retour des trains voyageurs sur la ligne SNCF de la rive droite du Rhône dans le Gard en 2022 et le projet de son retour en Ardèche, a mis un coup de projecteur sur cette situation largement soulignée par la presse nationale, qui fait de l’Ardèche le seul département de France sans train de voyageurs depuis 50 ans.
ConsulterLa révolte des masques armés survenue en 1782-1783 n’est pas un événement à classer parmi les actes de brigandage. Il s’agit avant tout d’une de fronde populaire traduisant l’exaspération d’un peuple opprimé par les abus d’une classe dominante.
ConsulterLa série H (XIIIe – XVIIIe siècle) correspond aux archives du clergé régulier et contient les documents des différents ordres religieux d’hommes et de femmes en Ardèche ayant prononcé leurs vœux de religion et obéissant à une règle écrite. Ils vivent en retrait du monde dans des monastères appelés selon leur importance, prieurés ou abbaye.
Cette série contient également des documents d’ordres militaires et hospitaliers.
Nous vous invitons à découvrir quelques objets et documents remarquables.
Aujourd’hui, nous vous invitons à découvrir les « bulles » pontificales.
ConsulterFrançois Henry, 15 ans, mousse sur un coche du Rhône, tue à Glun, le 28 avril 1782, François Luyton, 13 ans. Arrêté et emprisonné, il encourt la peine de mort. Il fait une demande de grâce au roi qui la lui accorde en septembre 1782.
ConsulterAu XIXe siècle, de nombreux villages de l’Ardèche reçoivent des enfants abandonnés et ce sont les familles les plus modestes qui s’assurent ainsi un petit complément de revenu, dans un département rural, à l’économie fragile. L’Ardèche, comme d’autres départements du centre de la France, devient un lieu « d’élevage » d’enfants abandonnés dont une part importante provient d’autres départements : Rhône, Bouches-du-Rhône, Loire et départements limitrophes comme la Haute-Loire, la Drôme, l’Isère et le Gard. L’expression « d’industrie nourricière » est utilisée à cette époque.
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